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COME WITH ME COME WITH ME | WE'LL TRAVEL TO INFINITY

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COME WITH ME COME WITH ME | WE'LL TRAVEL TO INFINITY
8 février 2008

IT'S TIME TO MOVE ON

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3 février 2008

je fais de la merde

itemdd

Bien sûr, je me fais chier en boîte de nuit. Ca me désespère d'y voir des gens mal sappés et de me prendre la tête avec un Tecktonik Killer ( marque déposée ) qui vient de me bousculer. Et on me prend pour l'une d'entre eux pour cause de Vans Slip On à damiers. Sans parler de toutes ces gamines parce que y'a pas contrôle d'identité à l'entrée. Leur faux D&G complètement ignoble, les ballerines à dix balles bouts pointus avec petite fleur dessus, leur top moulant en lycra anti mise en valeur made in Jenyfer. Et puis leurs cheveux ( trop ) tirés et les deux mèches super fines qui tombent sur les côtés du visage. Et elles se croient "à la mode". Et elles emballent toute la soirée, surtout celles qui s'assument alors que franchement y'a pas de quoi. Ca me déprime encore un peu plus et ça me rend amère. Alors je prend des vodka Tagada parce que j'ai envie de bouffer du Haribo et je suis là au bar à les regarder et à penser secrètement que " de toute façon, rien à foutre, c'est moi la meilleure ! "
J'ai souris dans mon écharpe quand on m'a dit : " il était mal de t'avoir vu dans cet état, il s'en voulait trop, il culpabilisait, ça le travaillait vachement. J'ai cru qu'il allait chialer lui aussi. " A croire qu'on passe notre vie à chialer, même dans The OC ils font pas autant de drames de leurs vies misérables. Je préfère me gaver de Skins, éspérant que ça m'aidera à démystifier sa jolie gueule de con. Et dans le genre je voue une obsession à une série TV made in UK, je suis pro !
Le concert des BB Brunes affiche complet. J'y serais saoule et bien placée. J'écoute Comme j'étais en vie de Cali. C'est comme si je la vivais cette chanson, un peu.
J'attends que Free active mon compte pages perso, et je bouge d'ici ! Tout est déjà prêt.

1 février 2008

la nuit est à vous, faîtes-en bon usage

Et ce soir c'est fête, ce soir elle est belle et elle est légère. Elle a ses longs cheveux ébènes qui sautillent sur son dos, nu ou non ça dépendra. Reste que c'est une belle image, une lourde chevelure enfermant un visage fragile. Mais elle est comme un maquillage un peu trop sombre et hasardeux qui aurait merdé dégoulinant au milieu d'un visage déjà un peu disgracieux. C'est moche ouais, ça fait tache aussi, mais une fois remarquée, on ne fait plus gaffe qu'à ça. Une fois remarqué, on ne se préoccupe que d'elle, de son rire grave, de sa voix aiguë quand elle crie, de ce qu'elle boit et en quelle quantité, qu’elle est la dernière à se coucher, de sa façon de ne pas s'assumer. Elle est une saleté au milieu d'un truc moche, un débris parmi d'autres, sauf qu’elle, c’est un déchet qui aurait au moins l’audace ou la prétention de se faire voir.

Elle, c'est l'héroïne de mes rêves.

A SUIVRE ...
ailleurs.
bientôt.

27 janvier 2008

" help me i'm just not quite myself "

" J'aime pas te voir pleurer ...
- Tu sais que c'est pas la première fois pourtant.
- Vraiment ? Désolé, je ne m'en rapelle pas.
- C'est bien c'que j'me disais ...
"

un jour on arrivera à s'entendre et à se comprendre. ou alors on ne se verra plus du tout. dans le bar y'a Fly Away de Lenny Kravitz. j'aime pas cette chanson, elle veut rien dire pourtant. mais la dernière fois que je l'ai entendue c'était à cet autre moment là, avec toi, celui dont tu ne te souviens pas. ça explique tout un tas de choses.
et tu sais, de tout ceux qui était là, tu es le moins proche et pourtant, t'as ( PRESQUE ) tout compris. tu me consolais d'une peine que je n'arrivais pas à expliquer et ça me faisait encore plus mal.
ouais allez, c'est bon. faudrait penser à m'arrêter. à jouer à te regarder dans les yeux , esquiver ceux des autres, ne trouver que les tiens. à croire que je ne lève la tête que pour te regarder. faudrait aussi penser à foutre ailleurs ton numéro de portable et ne plus t'écrire. excuse d'avoir été chiante, désolée d'avoir l'alcool mauvais, oublie ça, oublie ce message même, je suis un peu saoule, c'est mon excuse. au moment où je me disais " s'il me répond pas, c'est que j'ai plus rien à attendre ", tu réponds. c'était gentil, t'inquiète j'étais saoul aussi, mais bon n'empêche que c'était sérieux ce que je t'ai dit.
à côté y'a l'autre qu'on voulait me présenter. l'autre qui s'accroche. l'autre dont j'en ai strictement rien à foutre. profondément, qu'il aille chercher à baiser ailleurs et qu'il arrête de faire semblant de juste vouloir s'intéresser à moi. trop méfiante, moi ? sans déconner, que dalle à faire de tout ça, qu'il y ait un gros STOP écrit sur ma gueule, tant pis. tant mieux.
" tu te poses trop de limites Laura " qu'il dit. doux connard, ça tient qu'à toi de les franchir ces foutues limites.

26 janvier 2008

ADDICTED TO ...

écoute en boucle : Wild World by Sid (Mike Bailey)
visionnage en boucle : le final de SKINS
obsession : la Secret Party de Skins, Skins en général

déménagement prochain sur nouvelle plateforme avec belle gueule de beau gosse en prime.
un truc bien pompeux comme j'aimais les faire !
le temps de me suicider aux codes HTML et de recevoir mes login etc.

sinon je rêve que Tony (Nick Hoult) se balade dans mon rêve. et c'est l'éclate avec les potes d'aller au Subway, saouls à du vin blanc aromatisé pomme, fruits rouges, agrumes et d'aller faire du sourrire et du blabla désinhibé à mon serveur préféré.

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20 janvier 2008

" a guide to love, loss & desperation "

je me fous en l'air. j'écoute de la bonne musique en même temps. puis de la merde pour teenagers aussi, enfin non, pas de la merde. c'est juste des paroles qui t'encouragent à être encore plus une merde. qu'au fond, c'est pas grave, les autres ont été pires avant moi et eux, ils en font des chansons et justifie le fait d'être une grosse merde parce que t'en as chié que personne s'intéresse à toi et tout le monde dit "youpi" et chante les refrains, moi la première. et les pieds en avant.
sans même avoir la pudeur de retenir des larmes.
j'en ai profondément rien à foutre. de l'état de mes études déplorables, de la deuxième session d'examens que je ne prépare même pas, des livres que je n'ai pas lu et encore moins achetés et de savoir ce que je vais faire l'an prochain. de l'état lamentable de mes finances et des nouveaux soldes chez H&M. de toute façon, je ne serais même pas jolie. de l'état de mes amitiés superficielles et de l'avoir  (enfin) laissé tomber. de l'état de mes bras que j'ai fracassé et cisaillé volontairement. de l'état de ma santé et de mon corps que je malmène de fatigue et de danses assumées en boîte. de l'état de mes amours qui ont toujours été insatisfaits.
je ne dors même plus. j'ai trop peur de rêver et de t'y rencontrer.
j'ai même pas l'alcool pour m'oublier.

20 janvier 2008

désolé pour le dérangement

t'as une photo de fille en fond d'écran de ton téléphone portable. ça m'a tellement déstabilisée que j'en ai informé la personne qui s'en foutait le plus au monde. désolé pour le dérangement.
une photo de fille en fond d'écran. ridicule. c'est pas une actrice ou une chanteuse, de toute façon la culture c'est pas ton truc. le style de fille qui se prend en photo toute seule, la bouche en coeur et un doigt posé dessus, aguicheuse un peu pupute mais pas salope, les joues rentrées, la tête vers le bas et le regard allant vers le haut. la fille qui dirait : " tu m'aimes bien, beaucoup peut-être ... on a pas encore couché ensemble alors je t'envoie ma photo en bluetooth, histoire que tu puisses penser à moi tout le temps et que tu dises à tes potes " c'est elle ". après on couchera ensemble, comme ça t'auras plus à te branler sur mes pixels, j'te le promets. " au final c'est même pas sûr que tu les auras ses faveurs mais tu continues d'espérer. tu sais, on les connaît toutes ces filles, ce sont les reines parce qu'elles savent faire languir. et moi je manque de subtilité. et là. désolé pour le dérangement.
on en revient toujours au même problème, celui des autres filles. celles qui sont mieux que nous. pourtant c'est avec moi que tu passes le plus de temps, parce que tu me veux amie et que tu aimes ma compagnie. moi je suis de ce genre de filles qui se fait toujours voler la vedette par une autre plus pimpante, plus fraîche parce qu'elle ne boit pas de vodka, plus jolie parce qu'elle est plus fine, délicate et douce. moi je me crame par les deux bouts avec toi parce que je partage ta vodka et que je ferais n'importe quoi pour ça. elle jamais, elle a déjà tout sans le demander. elle est si limitée et si farouche. elle n'a aucune passion. je la déteste sans la connaître et sans même savoir si elle éxiste réellement au fond. mes souvenirs sont tellement flous que je doute maintenant de la véracité de ce que j'ai pu voir. et moi je suis toujours là, à pas faire mine devant toi. on dirait même que t'as oublié tout ce que tu as pu me dire ou me faire et qui m'ont fait autant de bien que de mal. désolé pour le dérangement.

et ce soir tu danses encore tout à côté de moi. t'es là bas, et tu bouges et t'es là tout à côté de moi. on se frôle tout juste pendant que t'es là tout à côté de moi. et je sais pas ce que tu veux. finalement même quand on buvait à table, anyway, on dirait pas que je te dérange tant que ça, là tout à côté de toi.

13 janvier 2008

" I love a good old mosh to the Arctics and the View, and I love drinking excessive amounts "

skins9

je n'arrive même plus à me foutre la gueule à l'envers. c'est pas faute d'essayer. mais c'est dingue, vouloir à tout prix sortir de soi-même. et c'est triste, non ? à force d'ivresse et d'oublis alcoolisés, j'ai fini par croire que c'était la seule façon que j'avais de prouver aux autres que j'éxistais. mais j'ai fait la mauvaise équation. vodka + moi + un autre = fille trop lourde. mais tu vois, sans ça, devant toi, je suis comme une idiote confrontrée à ses désirs de gamine éffrontée. une pauvre fille qui tente en vain de se persuader que non, tu n'es rien qu'un petit con. mais une fois que t'es là, bordel. ça brûle le bide. alors je sais pas si c'est l'éthanol ou simplement toi, mais ça crame. et à minuit, j'assume de te vouloir. des fois tu fuis, d'autres t'en joues. et je me fais avoir. le pire ? j'en redemande. parce qu'avoir mal au fond, c'est bien la meilleure façon de se prouver qu'on est bien en vie. c'est dingue comme avec toi je me sens en vie, si tu savais ...

6 janvier 2008

ça doit être ça l'acharnement

04am. vodka. gribouillis sur une feuille.
je touche mon visage. ivre. je ne me sens pas. je ne me reconnais pas. j'aurais tant voulu te détester, comme y'a pas longtemps. mais pas ce soir. dans l'obscurité et les lumières qui tournoient sur nos têtes, entre musique affolante et regards silencieux. pardonne-moi, c'est de ta faute. je continuerais à me faire mal et à avoir mal, tant que mes marques ne seront pas assez profondes. tout ça, ce n'est pas sûre que ce soit à cause de toi. euphorie délicate de l'ivresse, 04h03, dans mon lit. je t'écris un sms, merveille technologique anti romantique, histoire de te dire merci. merci même si ... j'envoie mais ça ne marche pas. histoire de crédit insuffisant. on pourra pas dire que j'ai pas essayé. pas plus mal. le reste de la nuit, j'irais hurler et brailler comme une gosse capricieuse dans son oreiller. furie, je suis une furie qui chiale de ne pouvoir se calmer.
je suis pas totalement folle. t'es venu, je te réclamais pour moi sans rien dire, juste des yeux, t'as laissé tomber la fille, et t'es venu. et en fait, t'aurais pas dû.
merci de parfois être tant adorable que je t'en déteste encore plus.
promis, bientôt, on arrête de se voir, de sortir, de se moquer, de danser, de parler, de boire et toujours la même chose, de boire dans le même verre, les bonnes intentions et les mauvaises, le creux de l'oreille, le sourire et la main sur l'épaule, tes excuses, ta façon de danser et celle de m'imiter, ta chemise ouverte parce que je ne te veux pas farouche non plus, et ton dos, ta voix furtive au téléphone.
salut.

3 janvier 2008

do me a favour and stop flattering yourselft [bastard]

factg02enfin, et c'est pas trop tôt, je me suis rendu compte que passé minuit, tu ne valais plus le coup, et moi non plus d'ailleurs. tu devenais ce petit con, arrogant et prétentieux. préférant de fades moments de blabla avec une fille déjà prise et éprise, qui n'a que pour seul intérêt d'être de celles qui font des trucs de filles. tu préfères parler à ces filles là, profondément répugnante de candeur, pour la sécurité, genre " celle-ci elle me fera pas chier à me courrir après puisqu'elle a déjà quelqu'un, mais si on pouvait se taquiner tout de même histoire de flatter mon égo ". elle c'est juste une sobre pute saoule.  le problème c'est que j'ai beau te détester le plus sincèrement et le plus profondément possible il restera toujours cette attirance étrange, comme une vieille rancune un peu trop rude pour que l'on puisse sans séparer. à te voir irrésistiblement con et toujours à me faire mal pour cette envie qui s'accroche. j'ai encore trop heurter si violemment mon corps à défaut de ne pouvoir frôler le tien. je ne veux même pas ne serait-ce que danser avec toi sur des musiques barbares. je me préserve. tu me détestes aussi je crois.
et je déteste les filles. presque autant que toi et c'est en rapport direct d'ailleurs. parce que je ne serais jamais comme on peut aimer. y'a juste des filles faites pour l'amour et les autres. les autres deviennent féministes ou tout simplement laides et aigries. moi, j'ai fait un mauvais mélange des deux dernières propositions. on dit alors comme Nadine Trintignant : " je suis une féministe qui aime les hommes ". bah moi ma Nadine, tu vois c'est pareil, sauf que les hommes ne m'aiment pas, au mieux, ils m'adorent comme on adore son pote Gégé qui s'enfile des litres d'alcool sans rien laisser voir.
moi c'est un peu pareil. je laisse jamais rien voir.

bonne année. pour moi, ça change rien.  

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